1 novembre 2009
Paix dans les brisements
[…] Nul ne connaît l’heure, nul ne connaît le dernier pont. Alors s’arracher, apprivoiser le large, offrir son visage au sel. Je n’ai pas peur. Ici, l’écume s’effrite et se disperse devant la parole intérieure qui grandit. Avec le ciel et le vent, il y a d’autres vies à vivre. […]
Dominique de Villepin (Hôtel de l’insomnie)
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