23 janvier 2010
Paroles d'arbre
[…] Quand on a connu de ces effervescences, le silence des oiseaux, l’hiver, a quelque chose d’effrayant. Le vide s’accroche, l’angoisse nous colle aux branches. On dirait de ces mères de famille nombreuse dont la marmaille s’est égaillée jusqu’au dernier...